Retour au point de départ
Ce que m'évoque aprés plusieurs écoutes
BR02 singha-la longue agonie des mienscette release m'apparait
être un hommage lointain à toute une période sombre de la musiquaelectronica italienne entre autre, (SNS,Anibaldi,Sasha,LoryD)
des ambiances, atmosphériques, vaporeuses et lourdes
une théâtralité industrielle et baroque à la fois.
les morceaux s'enchainent sans discontinuer et m'amène sur des plages sonores disctinctes.
Les tableaux se succèdent habilement, Bonnes perturbations vers 10.10, comme de résidus d'échos de hangards, ca tourne. La je comprends subitement le titre de l'album.
L'aube se lève à 15.30, la lumière flotte dans l'air, 17.30 quelques chose est sur le point de se produire : à ce moment je trouve ce passage trop "opera" dans certains sons.
22.00 Ca y est je replonge, belle plage onirique, des basses bass en ébulition, des orgues chantent à la mémoire des défunts, bel hommage s'il en est.
27.30 : dans une respiration, c'est diffu et lourd, je pense soundainement à Voïd d'Anibaldi, dans une lente ascension je me retrouve seul à 32.30 au sommet de ce petit point lumineux quand tout bascule à nouveau, je replonge dans le magma sonore, tout est noir. 35.8 je perçois des microrganisme qui scintillent en banc.
Je me dirige vers eux et il m'emportent dans une accélération vertigineuses 37.50, cela sature un peu dans les blancs mais ça c'est à cause de l'iode, de l'écumes et du temps. J'atteris, une voix
familiere me dis que je suis arrivé à la fin de ce voyage.
C'est quelque choses que je garde au chaud.
C'est pas bien constructif ce que j'en pense mais je dis quand même
Et puis entre nous c'est quand même vachement subjectif la musique non