(suite du post)
La place du mort semble bien démarrer. Outre des retours de lecture qui font bien plaisir, je vais avoir une chronique dans le numéro d'août d'Obsküre, probablement une chronique dans le numéro d'octobre de New Noise, et il y a d'autres trucs qui devraient arriver, mais tant que c'est pas confirmé je préfère éviter de me vanter (sauf auprès de mes copains, mais là c'est plus de la vantardise, c'est carrément du radotage).
"Je viens de finir La place du mort et c'est vraiment un regal, je suis vraiment passé de surprise en surprise. Des Tueurs-Nés sans media
Des Punks qui s'amusent et qui vibrent de leurs destructions
Une destruction qui appelle à un renouveau
Des superbes images (yeux fermés au bord de la route, s'allonger sur des rails) qui remuent et émeuvent
J'ai pas vraiment les mots, mais ca fait plaisir de sentir que des NOT DEAD talentueux existent encore."
(Reçu par message Facebook)
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"Je viens de finir La Place du Mort, que j'ai descendu cul sec. J'ai beaucoup aimé, c'était chouette, un vrai trip. Et va te coucher après ça hein, parce qu'à part prendre une batte en alu et aligner les pequenots au feu rouge, non, je ne vois pas ! la scène de mariage flingué m'a bien plu et le dézinguage de téléphones aussi, deux en un, ça fait un bien fou. Et toujours ton don pour exprimer des ressentis intimes et pour éclairer les comportements humains différemment. C'est très romanesque, très emporté, et ça ne ressemble qu'à du Siébert, je ne vois pas avec qui je pourrais comparer. Sous les croûtes y'a une route, merci et bravo pour ce roman."
(Reçu par message Facebook)
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"J'ai découvert ce roman grâce à Fabrice Colin (Bal de Givre à New-York, Blue Jay Way, ...), un auteur que j'apprécie énormément. Quand il met en avant un auteur ou un roman sur son blog, je fais confiance en son jugement et acquière le livre. Je n'ai jamais été déçu par ses conseils. Une fois de plus, je viens de me régaler avec "La Place du Mort, série Z existentielle" de Christophe Siébert.
Ames sensibles, s'abstenir! Ici, on ne fait pas dans la dentelle. Une fille paumée rencontre un gars paumé. Ils veulent refaire le monde, pour eux, nous sommes tous des morts vivants. La meilleure façon de refaire le monde, c'est de le détruire, de se détruire mais pas sans gloire, sans plaisir. La mort est le grâle, l'orgasme ultime, originel! Cette histoire est un grand coup d'accélérateur, ne freine jamais, monte et monte encore en puissance, jusqu'à la fin, un bouquet final digne des meilleurs feux de Bengale. Tant par le rythme de l'histoire que par l'écriture.
C'est le monde à l'envers. On fini par aimer les personnages, décalés, amoraux, sans scrupule, hédonistes, qui trouvent leur plaisir dans tout ce que notre société nous a appris à haïr. La répulsion devient séduction. Tout est bon pour arriver à leurs fins. Sexe, drogues, tortures, vols, meurtres, vandalismes. Le bonheur est là, dans le déni de la structure codifiée de notre société.
Peut-on comparer? Je pourrais croire que l'auteur a plongé dans un chaudron "J'Irais Cracher Sur Vos Tombe" de Vian, "Baise Moi" de Despentes, "37,2" de Djian et une pellicule de "A Bout De Souffle" de Godard, a tout fusionné en y ajoutant les piments les plus forts, créant une histoire à vous "cramer" de la première à la dernière ligne, du premier au dernier mot! Ici, on vit dans la tête de l'héroïne, dans son corps, dans sa vie.
C'est ma première rencontre avec cet auteur. Sa plume m'a séduit, son style, le rythme, l'histoire. On est dans le roman noir de chez noir. Cela semble impossible de plonger plus profond dans les abîmes. Ce livre vous aspire, vous entraîne dans sa folle équipée. Vraiment, plus qu'un bon moment de lecture. J'en suis devenu impatient de lire les autres titres de Christophe Siébert."
(Lu sur Babélio - source :
http://www.babelio.com/livres/Siebert-LA-PLACE-DU-MORT-Une-serie-Z-existentielle/623384)
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"bon, j'ai lu ton bouquin hier et j'ai que trois mots à dire nihil nihil nihil"
(Reçu par message Facebook)
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"Je me suis lancé il y a quelque jours dans la lecture de tes livres en commençant par Poésie portable que j'ai enchaîné dans la foulée avec La place du mort.
Explosif! Incandescent!
J'en reviens à ce que t'avais déjà dis sur la poésie : l'instant ! Unique ! Celui qui est immortalisé par les sentiments et dans les yeux d'une personne qui essaie de le traduire.
J'ai trouvé de nombreuses corrélations entre les deux ouvrages ; tout d'abord, avec le poème numéro 10 de Poésie portable, sur la réflectologie des miroirs (oui, c'est un néologisme que j'avais déjà employé dans un de mes textes ou je disait plus précisément " réflectologue" en parlant des miroirs, mais j'aime bien ce mot), dont on retrouve l'idée dans le prologue de La place de mort. Idem pour la mort de Jean-Louis (poème numéro 31) que l'ont retrouve dans les souvenirs de Blandine. Il y a aussi l'idée de la fuite. Pas la fuite par lâcheté mais par nécessité.
D'autre part, j'ai trouvé l'écriture, dès le début du récit, très cinématographique. Je veux dire qu'on à l'impression d'être dans la voiture avec eux. Ensuite la montée de la MD, la route qui cavale dans l'abstraction de la réalité, qui se dérobe sous l'effet de la caméra narrative, l'effet de la substance, du sentiment ! Du moment ! Quelque chose d'instantané.
J'avais l'impression de visionner un traveling tout en restant à leurs côtés.
Ensuite ça s'évapore légèrement lorsque l'on rentre dans l'individualité des personnages. Mais c'est comme ça que je lis un livre ; visuellement. D'ailleurs c'est comme ça que j'écris, car si tu ne peux pas voir la perspective, tu est très restreint et ça obstrue le champ de vision.
Après, la psychologie des personnages. On sent un besoin de révolte. Mais quelque chose d'inné ; comme de primitif. Ce que les événements subis par les protagonistes ont façonné.
L'envie de démolir pour refonder ! Mais malgré tout, je pense que l'on à besoin du passé pour fabriquer le présent.
Et de le démolir à nouveau (le présent).
Je pense à des choses que j'avais déjà écrites, et lisant des trucs bien plus tard, comme Bukowski, Ferré, Lautréamont, Céline, Artaud, tu te dis : mais tous ces fumiers l'on déjà écrit ! Et certainement mieux que moi ! Mais il faut que en parler quand même !
Bref ! Les trois derniers chapitres ; Dans l'église notamment, l'inceste au préalable, dans le musée au final... Que te dire ? Tu exploses les codes et les reformules avec une idéologie nouvelle ! Peut-être pas la bonne d'un point de vue moral ou éthique. Mais on emmerde la morale et l'éthique ! Du très grand et de l'explosif nihilisme ! Avec une morale anarchiste. Si l'anarchisme existe encore...
"L'ordre ! C'est le désordre, moins le pouvoir", disait Ferré.
Bref ! Putain de livre ! Merde!
Je suis défoncé!
Vivent la vodka et la littérature..."
(Reçu par mail)
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"Je crois que lire d'une traite ce bouquin m'a légèrement perturbée"
(Reçu par mail)
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"Je viens de terminer "La place du mort". Quelques mots sur ma réception...
C'est un fabuleux bouquin, peut-être le meilleur que j'ai pu lire de toi à ce jour. J'y vois en tout cas une sorte de complément direct à "Holocauste" qui m'avait déjà pas mal impressionné à l'époque. La densité narrative y atteint une puissance inouïe, comme un moteur dont on appuierait en permanence sur l'accélérateur. Les derniers chapitres en dégagent une sorte d'énergie en roue libre, incontrôlable. C'est un peu le genre de récit qu'un lecteur normal est obligé d'interrompre de temps à autre, juste histoire de reprendre son souffle. C'est très, mais alors très puissant...
D'une manière générale, la narration au présent et à la première personne est d'une maîtrise absolue. Chaque phrase est comme une respiration. Les scènes pornographiques semblent littéralement haleter, gémir, transpirer jusque dans le rythme, le style. C'est ultra physique. L'influence de Bret E. Elis est très présente (obsession du détail, de ce moment où la perception devient hallucinatoire...) mais est dépassée sur ce terrain-là. Elis, à mon avis, s'est depuis longtemps perdu dans sa propre imagerie glamour là où tu as plutôt opté pour l'exact opposé. En ce sens, tu proposes une oeuvre vraiment unique, à la fois dans le fond et dans la forme.
Contrairement à ce que prétend Ravalec, je ne trouve pas que tu te mettes "au service de la noirceur du monde". Au contraire, il y a dans tout le livre une soif de désir primal, un appétit primitif, insatiable qui habite tous les personnages en permanence. Ça me fait penser à la phrase de Dantec, qui disait : "Survivre, c'est le contraire de sous-vivre". Ce qui est nouveau, c'est qu'on y trouve une authentique histoire d'amour, avec sa part d'enfance, d'absolu, de futile et d’éphémère. Ce qui me touche le plus, c'est cette idée que l'amour n'est ni un "projet de vie", ni un capital, ni une possession, ni même une relation à autrui mais qu'il est juste une flamme sans raison ni but, au-delà même du sexe, de la vie où de la mort. L'amour est ce qui détruit tout. A ma manière, c'est aussi ce que j'essaie de transmettre dans mes textes. En tout cas, ça m'a profondément ému.
Le final au musée du Prado renvoie à l'apocalypse de ton roman précédent, avec l'idée que la fin du monde, c'est la fin de l'art. Dans le genre tabou brisé, ça fait très fort. Voilà une scène hautement satanique et blasphématoire en diable, qui profane le sacré de manière radicale. Là encore, ça me renvoie à une phrase de Nick Cave qui disait à propos du premier concert des Birthday Party : "Nous ne voulions pas choquer, nous voulions faire mal..."
Un truc sur la fin. Arrivé à l'épilogue, je me suis fait la réflexion qu'il y a toujours ce côté post-mortem qui habite tous les bouquins et les films qui ont vraiment compté pour moi. J'ai toujours pensé que le but de toute création est, symboliquement, de nous faire franchir le dernier cap, de nous donner une petite mort comme un avant-goût de la grande. "Enter the void" de Gaspar Noé est entièrement basé sur ce concept. De ce point de vue, ton dernier paragraphe est absolument magnifique. "
(Reçu par mail)
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"Ayant déjà lu et adoré « Nuit noire » mes attentes envers ce nouveau roman de Christophe Siebert étaient conséquentes, et c’est sans souci qu’elles ont été comblées.
Sordide du début à la fin, ce roman nous raconte la vie de débauche et l’errance d’une jeune femme lucide, désespérée et misanthrope n’ayant plus rien à perdre. À travers une narration très personnelle, Blandine (notre personnage principal) nous expose sa sombre vision du monde avec une souffrance lacérante. Elle nous raconte sa vie, son passé, son présent, et ne mise que peu sur le futur.
D’emblée, les dialogues crus laisseront apparaître l’aspect féministe de se livre nous rappelant quelque peu l’histoire de « Baise moi ». L’aspect traditionnel de la femme est brisé et sa bestialité naturelle reprend le dessus tandis que le dégoût des hommes se prononce à travers leurs faibles pulsions libidinales.
Voici les grandes lignes qui introduiront les grands aspects de ce roman.
Mais concentrons-nous tout d’abord sur le style d’écriture bien particulier consistant, comme le dit Christophe lui-même, à extraire tout « style » et à ne garder que la justesse. Il nous épargnera donc les formulations romantiques, les fins de phrases esthétiques, pour ne laisser que le poids des mots touchant irréversiblement le point névralgique. Malgré des formulations ou des « et » parfois redondants, la fluidité du récit s’amène progressivement d’elle même.
C’est ainsi que nous serons emportés dans la spirale infernale de Blandine qui au gré de ses pérégrinations rencontrera, aimera, détestera, et s’auto-détruira.
« La place du mort » est un roman écrit à vif qui saigne son lecteur, pourtant c’est un roman à la fois dur et à la fois libérateur. Il dégage quelque chose de puissant mais permet au lecteur de s’identifier aux aspects libres et fous de nos protagonistes.
On peut aussi dire que c’est aussi un roman qui ne manque pas d’idée (cf : les cambriolages bien pensées) ni de contenu (cf : Viol homosexuel, torture sur les parties génitales, inceste, fusillade).
Pour conclure, nous avons ici une oeuvre sombre, percutante et viscérale qui nous ramène aux sentiments les plus violents et les plus essentiels de la littérature noire."
(Lu sur le site de Tinam Sadique, source :
http://www.sadique-master.com/reviews/la-place-du-mort-2014-christophe-siebert-critique/)
En ce qui me concerne, j'ai vendu tous mes exemplaires. Je suis toujours autant dans la merde alors qu'avec le bénéfice je ne devrais pas, mais c'est parce que je suis un con et un mauvais comptable, ou bien que je m'en fous du fric, ou alors que la pauvreté est une espèce de tare, j'en sais rien. Bref, ça n'est plus la peine de me le commander, il ne m'en reste plus que quelques-uns et ils sont déjà réservés, si vous voulez le lire il va falloir faire comme d'habitude, le commander à l'éditeur (
http://www.camionnoir.com/) ou bien harceler votre libraire, et si vous vous sentez une âme de mécène, filez-moi deux ou trois mille euros, j'en ferais bon usage, et pour cette somme je vous écrirai un roman inédit, c'est évidemment une annonce très sérieuse.
J'ai donc écoulé environ 70 exemplaires de La place du mort en un peu plus de deux mois, merci beaucoup à tous ceux qui l'ont acheté et merci aussi à ceux qui m'ont écrit pour me donner leur avis, l'écrivain est un abruti solitaire, les marques d'amour lui réchauffent le cœur.
J'avais fait une sorte de bande-annonce pour vous allécher, bon, maintenant c'est un peu tard, évidemment, mais comme elle est en ligne sur Youtube, autant vous la montrer :
https://www.youtube.com/watch?v=AZ5qXu-YGRE.Et jusqu'à nouvel ordre, la tournée que j'ai fait pour présenter ce livre, tournée de lectures calquée sur ce que font mes copains musiciens, c'était la dernière. J'ai pris bien du plaisir à pour la troisième ou quatrième fois bouffer de la route (enfin, du rail, mais c'est pareil), à être pendant trois semaines dans une ville différente chaque soir, dans le speed, crasseux, repartir tôt le lendemain et rebelote, c'était super mais je sens poindre la routine et je n'en veux plus. Par ailleurs, je commence à avoir trop de bouquins à défendre (Porcherie que je vais peut-être réimprimer, on verra, Poésie portable, La place du mort, Nuit noire qui ressort dans deux mois sous une nouvelle bannière, un nouveau recueil chez Gros Textes début 2016, etc.) pour rester sur le principe 40 mn. de scène / des extraits d'un seul livre. J'ai donc décidé de faire autre chose, et cette chose s'appelle Rituel Drone. J'ai accompli hier, tout seul dans la chambre, le Rituel Drone numéro 1, ça fonctionnait pas mal ; le Rituel Drone numéro 2, et le premier en public, aura lieu à Bourg-en-Bresse dans un hôpital psychiatrique, je vous raconterai ça. Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus et/ou m'inviter à venir jouer, j'ai rédigé une petite fiche informative, vous pouvez la lire mais c'est légèrement pompeux, je vous préviens – c'est ma façon d'avoir l'air professionnel.
Christophe Siébert est un écrivain français né en 1974. En 1998, il fonde le collectif konsstrukt. Il est publié à partir de 2007 par La Musardine, Gros Textes, le Camion Noir, etc. Il participe également à divers fanzines et revues (Chimères, Banzaï, Squeeze, Freak Wave, Revue Métèque, etc.) et en crée lui-même (notamment L'Angoisse). Il a reçu en 2007 le prix Art-Psy pour son premier roman "J'ai Peur" et il a été sélectionné en 2012 et en 2014 pour le prix de Sade (respectivement pour "Nuit Noire" et "La place du mort"). Depuis de nombreuses années, il présente sur scène ses parutions, sous forme de lectures musicales plus ou moins performées.
Les romans et la poésie de Christophe Siébert sont empreints de réalisme critique, de violence, de gore, d'horreur sociale, de pornographie, de description naturaliste du quotidien, de métaphysique de comptoir, de féminisme et de postmarxisme. Son style évolue entre une écriture blanche inspirée par les fondateurs du roman noir américain (Hammet, Goodis, etc.), et un lyrisme inspiré par les écrivains français de la génération précédant la sienne (Despentes et Ravalec essentiellement). Selon ses propres termes, son travail relève d'un genre bâtard qu'il nomme : série Z existentielle.
"La densité narrative y atteint une puissance inouïe, comme un moteur dont on appuierait en permanence sur l'accélérateur. Les derniers chapitres en dégagent une sorte d'énergie en roue libre, incontrôlable. C'est un peu le genre de récit qu'un lecteur normal est obligé d'interrompre de temps à autre, juste histoire de reprendre son souffle. C'est très, mais alors très puissant..."
"Je crois que lire d'une traite ce bouquin m'a légèrement perturbée"
(Avis de lecteurs)
Son nouveau projet scénique s'intitule "Rituel Drone". Il consiste à jouer de la musique drone (mélange de parties jouées en direct et de sons préparés) pendant une durée variant de 25 à 120 minutes, cette durée étant décidée à l'avance par Christophe Siébert et par l'organisation. En même temps qu'il jouera cette pièce drone, il lira divers extraits de ses livres, prose et poésie, le tout étant assemblé et monté pour former un ensemble thématiquement cohérent. Cette lecture, soutenue par un jeu de lumière aggressif et oppressant à base de stroboscopes, aura pour but de créer une atmosphère à la fois immersive et de malaise, quelque chose entre le bad trip, le rêve et le fil intime de la pensée qui, selon l'auteur, représente les meilleures conditions possibles pour accéder, si elle existe, à une vérité du texte.
Pour mieux connaître le travail de Christophe Siébert, vous pouvez vous rendre sur son site. Vous y trouverez entr'autres des textes inédits, une bibliographie et des extraits vidéo de ses lectures :
http://konsstrukt.wix.com/christophe-siebertFICHE TECHNIQUE :
Une table de 1m. de large, et assez haute pour pouvoir jouer debout.
Un ampli qui encaisse bien les basses et ne déforme pas trop la voix.
Un espace où C. Siébert pourra disposer des exemplaires de ses ouvrages.
Autant d'obscurité que possible.
Facultativement, quelqu'un qui filme le show.
Installation / balances : 10 minutes.
Durée du show : variable de 25 à 120 minutes, à définir à l'avance.
Désintallation : 10 minutes.
FICHE ECONOMIQUE
Cachet/défraiement : 50 euros + participation aux éventuels bénéfices de la soirée.
Sur place : un repas avant ou après le show.
Un endroit ou dormir.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Pas d'extrait de roman, ils n'ont pas avancé. A dans quinze jours !
Christophe Siébert.