Charles Aznavour - 20 chansons d'or
autant Piaf je ne peux pas, c'est viscéral, autant Aznavour je n'ai aucun problème.serais-je gay?
plussin
Citation de: "JM Charcot"autant Piaf je ne peux pas, c'est viscéral, autant Aznavour je n'ai aucun problème.serais-je gay? ouais ya certain vieux aznavour que j'aime bien aussi. puis bon musicalement c'était l'orchestre à chaque fois et la chanson française a bien mal vieilli quand on entend les instrus de cette époque.
Citation de: "JM Charcot"autant Piaf je ne peux pas, c'est viscéral, autant Aznavour je n'ai aucun problème.serais-je gay? Je sais pas, mais entre Manset, Murat et Aznavour, je me dis que faut pas arriver à l'apéro n'importe quand sans prévenir chez toi
via le myspace est c'est bien cool
[CiterUn documentaire d'Alexandre Héraud et Yvon Croizier - Rediffusion de l’émission du 29 mai 2008Alors que Montréal affronte la neuvième tempête de neige d’un hiver qui se prolonge, nous partons au pays des bûcherons et des pionniers en empruntant le mythique train « Abitibi », souvent baptisé le train du « far West québécois ». La plupart des localités qu’il traverse sur plusieurs centaines de kilomètres de forêts et de lacs avant de parvenir à son terminus, la petite ville de Senneterre, ancien poste de traite important à l’époque des fourrures, ont été fondées grâce à l’arrivée du chemin de fer. L’histoire de ce train est étroitement liée à celle de la conquête de cette région, l’Abitibi, une terre éloignée qui ne fut habitée pendant prés de six mille ans que par les nomades algonquins et colonisée que très tardivement, au début du XXème siècle. Aujourd’hui, ce train conserve encore un parfum de mystère et… d’imprévu, puisqu’il s’arrête à la demande pendant les douze heures que dure son trajet pour parcourir les sept cent dix-sept kilomètres le séparant de la gare centrale de Montréal. Ce choix de locomotion, le seul digne des voyageurs peu pressés, laisse le loisir d’augurer de quelques rencontres imprévues et permet de mieux saisir la notion de grands espaces tant associée à l’image du Canada. Pour « tomber en amour » avec ce pays, selon l’expression consacrée, il est préférable de parvenir à tisser des liens amicaux avec nos grands cousins d’Amérique. En Abitibi, ce sont les membres de la famille Ouellet, originaires de cette région de pionniers, de trappeurs, de forestiers, de chasseurs d’or et de missionnaires, qui nous accueillent pour nous parler de ce territoire encore méconnu et qu’ils n’ont jamais définitivement quitté. Tous vivent en fratrie au bord du Lac Lamothe, non loin d’Amos, et se sont tous rendus disponibles pour nous faire partager leur quotidien. Tous, sauf l’un des six frères, Marc. En effet Marc Ouellet a été ordonné il y peu Cardinal et se trouve plus souvent à Rome auprès du Saint-Père qu’en Abitibi, qui demeure pour le reste de sa famille un paradis…Avec le personnel de la compagnie VIA Rail du Train « Abitibi », Denys Chabot, historien à Val D’Or,ainsi que Monique, Paul, Graziella, Roch et Louis Ouellet. Production : Alexandre HéraudRéalisation : Yvon CroizierPrise de son : Eric Gérard
Un documentaire d'Alexandre Héraud et Yvon Croizier - Rediffusion de l’émission du 29 mai 2008Alors que Montréal affronte la neuvième tempête de neige d’un hiver qui se prolonge, nous partons au pays des bûcherons et des pionniers en empruntant le mythique train « Abitibi », souvent baptisé le train du « far West québécois ». La plupart des localités qu’il traverse sur plusieurs centaines de kilomètres de forêts et de lacs avant de parvenir à son terminus, la petite ville de Senneterre, ancien poste de traite important à l’époque des fourrures, ont été fondées grâce à l’arrivée du chemin de fer. L’histoire de ce train est étroitement liée à celle de la conquête de cette région, l’Abitibi, une terre éloignée qui ne fut habitée pendant prés de six mille ans que par les nomades algonquins et colonisée que très tardivement, au début du XXème siècle. Aujourd’hui, ce train conserve encore un parfum de mystère et… d’imprévu, puisqu’il s’arrête à la demande pendant les douze heures que dure son trajet pour parcourir les sept cent dix-sept kilomètres le séparant de la gare centrale de Montréal. Ce choix de locomotion, le seul digne des voyageurs peu pressés, laisse le loisir d’augurer de quelques rencontres imprévues et permet de mieux saisir la notion de grands espaces tant associée à l’image du Canada. Pour « tomber en amour » avec ce pays, selon l’expression consacrée, il est préférable de parvenir à tisser des liens amicaux avec nos grands cousins d’Amérique. En Abitibi, ce sont les membres de la famille Ouellet, originaires de cette région de pionniers, de trappeurs, de forestiers, de chasseurs d’or et de missionnaires, qui nous accueillent pour nous parler de ce territoire encore méconnu et qu’ils n’ont jamais définitivement quitté. Tous vivent en fratrie au bord du Lac Lamothe, non loin d’Amos, et se sont tous rendus disponibles pour nous faire partager leur quotidien. Tous, sauf l’un des six frères, Marc. En effet Marc Ouellet a été ordonné il y peu Cardinal et se trouve plus souvent à Rome auprès du Saint-Père qu’en Abitibi, qui demeure pour le reste de sa famille un paradis…Avec le personnel de la compagnie VIA Rail du Train « Abitibi », Denys Chabot, historien à Val D’Or,ainsi que Monique, Paul, Graziella, Roch et Louis Ouellet. Production : Alexandre HéraudRéalisation : Yvon CroizierPrise de son : Eric Gérard