j'vous met le texte tout défoncée sur le morceau:
"j'observe ce tableau d'aigreur humaine,
de rigueur cravatée de souliers vernis,
je lis l'enchaînement au quotidien,
dans le froisement de vos journaux
pages vides de sens qui ne comblent même pas le vôtre
et qui servent juste à soulager la conscience,
à éviter de trop penser à sa propre vie.
à la routine qui tue
à le temps qu'un ne peut tromper.
j'attends pour partir je ne sais où,
ici, ailleurs, toujours décalé.
j'emporte vos sombres regards sur ma personne qui me flatte
j'emporte vos visages et votre pourriture.
Et tout ça, moi ça me fait bien rire."