En 2007, une horde de folles naturo-psychopathes se livrait choeurs et âmes à la cause du Socialisme-Esthétique Rural incarné, pensaient-elles, en la personne de José Bové.
En 2009, la moustache de l'Aveyronnais semble bien blafarde sous les néons de Bruxelles, comparé à l'éclat que lui donnait jadis l'incomparable soleil du Larzac.
Re-écoutons cette ode qui, gageons-le, saura ramener José aux fondamentaux.