Auteur Sujet: Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails...  (Lu 28496 fois)

dada

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #30 le: mai 16, 2009, 11:42:03 am »
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http://www.france24.com/fr/20090414-australie-filtre-internet-censure-pedophile-liste-noire

"Dans une banlieue paisible à l’ouest de Sydney, la vie suit son cours, sans faire de vague. Pourtant, Evgenia Leckey a peur. Peur qu’en un clic de souris, sa vie et celle de ses trois filles bascule.


C’est pourquoi elle souscrit à un fournisseur d’accès Internet qui lui permet de bloquer tout ce qu’elle veut, y compris YouTube et les moteurs de recherche d’images. Si chez Evgenia Leckey l’accès à Internet est filtré, c’est donc par choix.
Mais le gouvernement australien veut aller plus loin et propose de rendre obligatoire la censure du Web. Une proposition qui est loin de faire l’unanimité.

 
Au cœur de la proposition de censure se trouve une liste noire secrète, détenue par l'Acma, l’organisme de régulation de l'Internet en Australie. Personne ne sait ce qu’elle contient, pas même le ministre. “Le but de la liste noire, c’est d’empêcher que les gens aient accès à certains sites, notamment des sites de viols, d’inceste, de pédophilie. Si l’on publie la liste, ça n’est plus la peine d’en avoir une”, explique Stephen Conroy, le ministre de la Communication australien au cours d’une émission de télévision à grande écoute.
 

"La liberté d’expression, ça n’est pas dire tout ce qu’on veut"


Selon la proposition de censure, tout site apparaissant sur cette liste noire devra être bloqué par tous les fournisseurs d’accès à Internet. Mark Newton est ingénieur réseau pour l’un des plus importants fournisseurs d’accès en Australie. Il trouve l’élaboration d’une liste noire secrète ridicule. “Je pense qu’un gouvernement qui propose un pareil système doit garder en tête que la liste noire qu’il utilise finira par etre rendue public. “
 

Et la liste a été rendue public. Viol, pédophilie, zoophilie, tout y est. Y compris ceci : le site d’un chenil dans le Queensland, celui d’un groupe prônant la légalisation de l’euthanasie , ou encore un site américain contre l’avortement. Le filtre proposé par le gouvernement sera limité au Web et ne s’appliquera ni au contenu peer-to-peer ni au chatrooms – qui représentent pourtant près de 60 % des données échangées sur Internet. Les sceptiques prédisent aussi qu’il sera très facile de contourner le filtre.

 

Pourtant, certains continuent d’approuver la proposition de censure.  “Les Australiens ont déjà accepté l’idée que la liberté d’expression, ça n’est pas dire tout ce qu’on veut, explique Anthony Pillion, fournisseur d’accès à Internet. Il y a des limites qui ont ete posées. Il suffit de faire la même chose en ligne. Ça n’est pas si différent que ça.”

 

Mark Newton n’est pas d’accord. “Donner à l’Etat un tel pouvoir de décision change fondamentalement les rapports entre Etat et citoyens", s’insurge-t-il. Malgré les critiques, le gouvernement a lancé les premiers tests de performance du filtre. Les résultats devraient être publiés avant la fin de l’année."

cindy cenobyte

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #31 le: mai 16, 2009, 11:46:28 am »
soyons beaux joueurs et souhaitons leur bon courage dans cette entreprise grotesque et impossible à mettre en oeuvre smiley23  smiley21
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makam

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"Vous connaissez James Brown, moi c'est l'contraire, je suis blanc et je suis pas fier" Programme

dada

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #33 le: mai 20, 2009, 09:30:19 am »
la suite...

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/05/18/apres-la-dadvsi-et-hadopi-bientot-la-loppsi-2_1187141_651865.html
 LEMONDE.FR | 18.05.09 | 21h21  •  Mis à jour le 19.05.09 | 11h56
   
"La loi Hadopi est donc - avec quelques houleux retards à l'allumage - finalement votée. Avec la loi Dadvsi de 2006 sur le droit d'auteur, qui avait également provoqué un tollé, voici que se profile Loppsi, élargissant encore le champ sécuritaire lié aux nouvelles technologies. Mis bout à bout, ces trois éléments forment le véritable arsenal de la "cybersécurité", promue priorité par Nicolas petit lapin qui pisse derrière la tente.

Dadvsi et Hadopi, censées lutter contre le téléchargement illégal grâce à des mesures techniques, devraient donc être complétées après l'automne 2009 par un dispositif bien plus ambitieux, axé sur l'ensemble de la cybercriminalité. Loppsi 2 (loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, 2e du nom après la Lopsi de 2002), voulue par Nicolas petit lapin qui pisse derrière la tente, serait dotée d'une enveloppe d'un milliard d'euros sur cinq ans (2010-2015).
La clef de Loppsi 2, ce sont les mouchards électroniques. La loi Hadopi prévoit déjà la "Simplification des procédures de contrôle par les services de l'Etat des logiciels intégrant des mesures techniques permettant le contrôle à distance de fonctionnalités ou l'accès à des données personnelles". La Dadvsi évoque également les mouchards électroniques : l'article additionnel 10bis C de la loi Hadopi à l'article 15 de la Dadvsi permet notamment à la direction centrale de la sécurité des systèmes d'information (DCSSI) de s'affranchir du contrôle des logiciels mouchards susceptibles d'être installés par les administrations de l'Etat, les collectivités territoriales et les opérateurs publics ou privés.

L'ACCÈS AUX DONNÉES INFORMATIQUES SIMPLIFIÉ

En d'autres termes, l'Etat ne serait donc plus obligé de vérifier la "légalité" des mouchards utilisés par ses services sur le Réseau. Dès lors, c'est la porte ouverte à toutes les "captations" informatiques et sonores, de quelque nature qu'elles soient. Le projet de loi Loppsi 2 reprend ce principe en le perfectionnant, puisqu'il permettrait "sans le consentement des intéressés, d'accéder à des données informatiques, de les observer, les collecter, les enregistrer, les conserver et les transmettre, telles qu'elles s'affichent pour l'utilisateur ou telles qu'il les y introduit par saisie de caractère". C'est la légalisation des "chevaux de Troie" (logiciels espions) chez l'internaute, pendant une durée de quatre mois, renouvelable une fois sur accord du juge.

Techniquement, le dispositif pourra être mis en place à toute heure, soit en s'introduisant dans tout lieu physique (avec mise en place d'une "clé de connexion" dans l'ordinateur à surveiller), soit par "transmission par un réseau de communications électroniques", en s'infiltrant à distance dans la machine à surveiller.

PÉRICLÈS SAURA TOUT DE VOUS

Loppsi 2 prévoit également la création d'un fichier informatique appelé Périclès. Ce système "d'analyse sérielle" permettra d'effectuer des rapprochements entre les différents fichiers judiciaires (Stic, Judex, etc.) et de croiser tous les renseignements disponibles pour lutter au mieux contre tous les types de délinquance, et notamment la pédo-pornographie. Mais pour ce faire, ce "super-fichier" contiendra de nombreuses données liées à la vie du citoyen avec tous les dangers de dérives possibles : numéros de cartes grises, de permis de conduire, de puces de téléphones portables (IMEI), factures diverses, etc.

Car selon les informations du Monde, la collecte de ces données proviendrait entre autres de
"traitements automatisés de données à caractère personnel concernant toute infraction commise contre les personnes". Ces données ne seraient donc plus uniquement "collectées au cours de procédures judiciaires pénales" comme il était prévu dans le projet de loi originel.

LES FOURNISSEURS D'ACCÈS EN PREMIÈRE LIGNE DU DISPOSITIF

Michèle Alliot-Marie a d'ailleurs précisé en janvier que 555 millions d'euros seraient affectés à la lecture automatisée des plaques d'immatriculation par vidéosurveillance, à la modernisation des fichiers d'empreintes génétiques et digitales, mais aussi à l'enregistrement vidéo des gardes à vue. Cette loi permettrait en outre, selon elle, de créer un délit d'usurpation d'identité sur Internet, mais aussi de pouvoir géolocaliser des internautes, ou de bloquer les sites (dont la liste serait fournie par le ministère) ne respectant pas la législation directement chez les fournisseurs d'accès. Pour ce faire, des "crawlers" (logiciels de recherche spécialisés), seraient mis en place par différents services du ministère, notamment l'OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication).

Mais les fournisseurs d'accès ne seraient qu'un des maillons de la chaîne, au même titre que les constructeurs d'appareils connectés par exemple. Ils pourraient donc se retrouver contraints de filtrer une partie du Web sur demande du gouvernement, comme l'explique Jean-Michel Planche, président d'honneur du Club français des entrepreneurs des télécommunications, et récemment consulté par la CCRSCE (Commission consultative des réseaux et services de communications électroniques) sur le sujet.
Toutes ces dispositions d'exception, accolées à des technologies de plus en plus perfectionnées, pourraient doter l'Etat de moyens de contrôles très importants. Mais tout comme de nombreux experts ont dénoncé, lors du débat sur Hadopi, le manque d'efficacité des solutions techniques dans la lutte contre le piratage, rien ne dit que les "mouchards" électroniques ne souffrent pas du même défaut. En attendant, des opposants au projet de loi se manifestent déjà. Le débat ne fait que commencer.
Olivier Dumons"

unasrakraganh

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #34 le: mai 20, 2009, 09:52:39 am »


 :smiley52:
musical as unas/cxaxb/odium decoy/dj morille/bosquet club

dada

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #35 le: mai 20, 2009, 13:20:07 pm »
de mieux en mieux ...
http://www.numerama.com/magazine/12365-Herisson-l-armee-francaise-veut-surveiller-le-net-en-profondeur.html
Herisson : l'armée française veut surveiller le net en profondeur

 L'information est une composante stratégique essentielle dans la stratégie militaire. Il n'y a donc rien de surprenant à ce que l'armée cherche à surveiller Internet et l'ensemble des communications sensibles qui pourraient avoir un impact sur la sécurité nationale. Mais avec le système HERISSON, détaillé par notre confrère PC Inpact, la France veut se doter d'un outil de surveillance de grande envergure qui alimente le risque d'un Big Brother à la française.

Le Système HERISSON ("Habile Extraction du Renseignement d'Intérêt Stratégique à partir de Sources Ouvertes Numérisées") vise à surveiller et à référencer dans une base de données toutes les communications et les contenus véhiculés par tous les médias, en particulier Internet. La Direction Générale des Armées (DGA), en charge des renseignements pour le ministère de la Défense, aurait la paternité du projet dont le cahier des charges a été rendu public dans un document Google Docs.

Le projet a été évoqué dans un appel d'offres lancé en avril 2007, portant sur les "conception réalisation et évaluation d'un plate-forme dédiée au traitement des sources ouvertes pour le renseignement militaire d'intérêt stratégique". Une fois le marché notifié, le prestataire bénéficie de 36 mois pour réaliser ce qui semble tentaculaire.

Herisson doit être capable de surveiller et de collecter des données issues des médias traditionnels (télévisions, radios libres, presse papier, livres, ...) , et des nouveaux médias (presse en ligne, sites web institutionnels, bases de données en ligne, réseaux sociaux, blogs et sites personnels, moteurs de recherche, annuaires, portail, agrégateurs d'actualités, flux RSS...). Les services de chat IRC, mailing-list, forums, newsgroups, ou Peer-to-Peer sont également visés. Herisson doit ainsi pouvoir télécharger sur les réseaux FTP ou les réseaux P2P.

Le système doit être capable de reconnaître tout type de contenus (texte, image, son et vidéo), en ayant "la capacité de collecter des données via les protocoles : MMS (flux vidéo type Windows Media Player) RSTP (flux vidéo type Real Player) POP3 (messagerie)". Il doit aussi pouvoir "gérer un éventail large, non restreint et évolutif de formats de documents de type : Vidéo (AVI, MPG, MOV, MP4, Real, FLV, OGM ...) ; Audio (WAV, MP3, OGG...) ; Image (BMP, JPG, TIFF...) ; Texte (HTML, MHTML, Open Document, Open XML/Microsoft Office, Adobe PS/PDF, Flash)".

Parmi les caractéristiques techniques souhaitées par le ministère de la Défense figure la capacité d'Herisson à effectuer les "détection et classification d'objets contenus dans une image (personne, véhicule, meuble...)" et permettre "la détection et l'identification de personne dans une vidéo". Le tout classé grâce à un système complexe de métadonnées, qui permettront de retrouver les contenus en fonction de leur source, de leur contexte, des textes qui les accompagne, etc., etc.

osc

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #36 le: mai 25, 2009, 14:01:55 pm »

dada

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #37 le: mai 25, 2009, 14:55:16 pm »
smiley5

Alain Deschodt

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la baisse de salaire « Réponse #38 le: juin 10, 2009, 19:14:09 pm »
Ah ben ça y est, y a pu ! smiley23


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TÉLÉCHARGEMENT ILLÉGAL
Le Conseil constitutionnel censure la loi Hadopi

Par Emmanuel Berretta Gunfight

Le Conseil constitutionnel censure la loi Hadopi



La ministre de la Culture Christine Albanel voit la disposition la plus controversée de la loi Hadopi censurée par le Conseil constitutionnel

Christine Albanel et Nicolas petit lapin qui pisse derrière la tente subissent un revers sur la loi Hadopi. Le Conseil constitutionnel, s'il a validé la loi, n'en a pas moins censuré le dispositif de sanction finale. Les sages estiment que la suspension de l'abonnement en cas de téléchargements illégaux ne peut être prononcée que par un juge et non par une autorité administrative comme l'Hadopi. Cette décision est fondée sur l'idée que l'Internet "est une composante de la liberté d'expression et de consommation". En outre, la loi Hadopi inversait la charge de la preuve au détriment de l'internaute. Le Conseil revient au principe général du droit : "En droit français, c'est la présomption d'innocence qui prime." La conclusion du Conseil est claire : "Le rôle de la Haute Autorité (Hadopi) est d'avertir le téléchargeur qu'il a été repéré, mais pas de le sanctionner."

En somme, les sages donnent raison à la bande du député européen Guy Bono qui a combattu la loi Hadopi en introduisant, dans la directive européenne dite "Paquet télécom", l'amendement 138 qui aboutit à la même conclusion : la nécessité de passer par un juge avant de sanctionner un téléchargement illégal. Christine Albanel prend acte de la décision des sages et indique qu'elle proposera très rapidement - avant l'été - au Parlement de modifier les deux paragraphes censurés de l'article 5 de la loi Hadopi. Cette loi de complément ne comprendra qu'un seul article.

Les premiers mails partiront à l'automne comme prévu (cabinet Albanel)



Techniquement, la décision du Conseil constitutionnel peut toutefois poser un problème d'ordre pratique : l'engorgement des tribunaux. C'est d'ailleurs l'une des raisons qui avaient conduit la ministre à écarter, dans sa première mouture du projet de loi, le recours à un juge. "'Entre-temps, la mise en place de la réforme de la justice va rendre les choses plus pratiques, car il est prévu que dix tribunaux de grande instance seront spécialisés dans les questions de droit d'auteur", souligne le cabinet du ministère.

La ministre de la Culture se réjouit toutefois que le dispositif préventif de la loi ait été intégralement validé. "Comme prévu, les premiers mails d'avertissements seront adressés aux contrevenants dès l'automne," affirme son cabinet, joint par lepoint.fr. Rappelons que les services du ministère évaluent à 10.000 mails par jour le débit des avertissements... Les premières sanctions ne tomberont qu'en décembre après que l'Hadopi a entamé une démarche de persuasion avec les contrevenants.
En France, les chômeurs exploitent les patrons

makam

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #39 le: juin 11, 2009, 08:41:15 am »
smiley14 Chirac et VGE sont toujours dans la place !
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Kiki aux Morilles

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #40 le: juin 11, 2009, 09:00:12 am »
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Rappelons que les services du ministère évaluent à 10.000 mails par jour le débit des avertissements...


En 1 mois ca fait déjà 300 000 mails...

Z'ont pas interet d'etre chez gmail avec leur super protection de l'info  smiley13  smiley13

De toute facon ils sont tout chaud du slip mais bon, a voir comment ils captent les DL etc...

Quelqu'un sait si le cryptage de Utorrent tient la route?

makam

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #41 le: juin 11, 2009, 09:11:33 am »
ça crypte ce que tu transfers, mais n'importe quel gend@rme peut savoir d'où partent ces flux "crypto-pirates"
et puis y a des standards dans les ports utilisés qui font qu'ils savent si tu torres tu mules ou tu sseek
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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #42 le: juin 11, 2009, 10:59:52 am »
ba non si tu changes tout. ?

makam

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #43 le: juin 12, 2009, 07:49:13 am »
http://torrentfreak.com/free-anonymous-bittorrent-becomes-reality-with-bitblinder-090611/ explique plutot l'ami de dingo bien le principe.
ton cryptage des données ne change rien à ce shéma, elles passent juste en transfert sécurisé.


bitblinder semble proposer mieux
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Kiki aux Morilles

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Hadopi, mon ami qui veux du bien à mes mails... « Réponse #44 le: juin 23, 2009, 08:58:52 am »
Le petit homme protège sa chèvre a guitare acoustique

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Le président de la République en fait une affaire personnelle. Dans le discours qu'il a prononcé ce lundi 22 juin 2009 devant les parlementaires réunis en congrès, Nicolas petit lapin qui pisse derrière la tente a promis d'aller « jusqu'au bout » dans la lutte contre le téléchargement illicite, malgré la censure partielle de la loi Hadopi par le Conseil constitutionnel. « Comment pourrait-il y avoir dans notre société des zones de non-droit ? Comment peut-on réclamer en même temps que l'économie soit régulée et qu'Internet ne le soit pas ? Comment peut-on accepter que les règles qui s'imposent à toute la société ne s'imposent pas sur Internet ?, a demandé Nicolas petit lapin qui pisse derrière la tente lors de son discours. En défendant le droit d'auteur, je ne défends pas seulement la création artistique, je défends aussi l'idée que je me fais d'une société de liberté. Où la liberté de chacun est fondée sur le respect du droit des autres. » Tout cela, bien sûr, dans les limites du respect de la constitution, ce qui ne semblait pas tout à fait le cas dans le projet de loi initial. En tout cas, pour le Conseil constitutionnel.


source : http://fr.news.yahoo.com/12/20090622/ttc-hadopi-nicolas-petit lapin qui pisse derrière la tente-promet-d-alle-549fc7d.html