Auteur Sujet: Les frères lumière veulent de la maille  (Lu 483222 fois)

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  • Vomistrouzte Bouleturg
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Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1695 le: février 22, 2014, 17:09:45 pm »
Non Syd c'est une histoire américaine...
et breaking bad canadien c'est à Vancouver que ca se passe...
Les mecs ils te font breaking bad et walking dead d'un coup... ville de tox!

D'ailleurs ce matin je lisais un article sur la pauvreté, tous sens confondus, de Montréal, et c'est pas mal vrai... mais bon ce n'est pas du cinéma.

Alain Deschodt

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quand advocatz ont tout en leur baillie « Réponse #1696 le: mars 04, 2014, 19:46:28 pm »
- Edouard Molinaro : Cause toujours, tu m'intéresses (1979), très bonne comédie-mélo, parfaitement interprété avec Marielle et Girardot géniaux comme d'hab'



- Jacques Tourneur : La Féline (1942), un classique du fantastique qui n'a rien perdu



- John Schlesinger : Yanks (1979), bon film de guerre qui se passe dans le nord ouest de l'Angleterre pendant la Seconde Guerre mondiale parmi les troupes américaines basées là dans l'attente du débarquement sur le continent. C'est tout à fait réussi avec un Richard Gere au sommet et le duo Vanessa Redgrave / William Devane (quel râtelier, c't homme-là !)


- Stanley Tong : Jackie Chan dans le Bronx (1996), un bon Jackie Chan, bien fendard, avec des loubards et la mafia, ça latte sec !



- Woody Allen : Ombres et brouillard (1991), un film à la manière de M le Maudit mais, malgré quelques rares moments drôles, très théâtral et ennuyeux

En France, les chômeurs exploitent les patrons

Alain Deschodt

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spacciatore di unguenti e medicine « Réponse #1697 le: mars 17, 2014, 00:05:19 am »
- Thomas Arslan : Gold (2013), bon western atypique qui raconte la traversée d'Allemands qui veulent franchir l'ouest du Canada pour joindre l'Alaska afin d'y trouver de l'or. L'ambiance rappelle quelque peu Dead man ou le livre Sukkwan Island par exemple, avec une nature souvent hostile et effrayante



- Clint Eastwood : L'épreuve de force (1977), une course poursuite où ça cartonne à tout prix, malheureusement ça n'est qu'une succession de scènes choc sans véritable lien, un Clint très oubliable



- Jean Renoir : Une partie de campagne (1936), un film inachevé (hélas car il devenait vraiment très intéressant au moment où il se termine), avec des acteurs au destin incroyable pour la plupart (Sylvia Bataille, Georges Darnoux, Jacques Brunius, Alain Renoir)



- Kim Ki Duk : Samaria (2004), ça parle de la prostitution lycéenne à Séoul, malheureusement, si la seconde partie se suit bien et la photographie reste nickel en permanence, la première partie est catastrophique et super ennuyeuse



-Joe Johnston : Wolfman (2010), malgré des effets spéciaux impressionnants, ce film fantastique pèche par une réalisation et un scénario mauvais qui frisent le ridicule sans compter des performances d'acteur à côté de la plaque telle celle d'Anthony Hopkins


En France, les chômeurs exploitent les patrons

Plan9

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Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1698 le: avril 01, 2014, 00:05:47 am »
2 excellents films dont je navais jamais entendu parlé  smiley9


Le Grand Embouteillage (L'Ingorgo : Una storia impossibile) est un film franco-italo-germano-espagnol réalisé par Luigi Comencini et sorti en 1979. Il est inspiré de la nouvelle de Julio Cortázar L'Autoroute du Sud.

Sur une autoroute italienne, des centaines de voitures se retrouvent bloquées durant de longues heures dans un monstrueux embouteillage. Les comportements des conducteurs vont devenir, eux aussi, monstrueux






Rêve de singe (Ciao Maschio) est un film, coproduction franco-italienne, réalisé par Marco Ferreri et sorti en 1978.

Lafayette (Gérard Depardieu) est un jeune électricien qui vit à New York, mais il n’en fréquente que trois repères : le Musée de Cire de la Rome Antique, de Flaxman (James Coco) où il travaille, un petit théâtre géré par des féministes, son appartement en sous-sol infesté de rats. Un matin, il remarque dans la rue des individus vêtus de combinaisons blanches, il prend peur alors que ce ne sont que des dératisateurs. Au théâtre, les femmes préparent un spectacle dans lequel il est question du viol d’un homme. Lafayette, mal à l’aise durant ces répétitions, provoque quelque peu les comédiennes qui décident de le violer réellement. Cet acte de violence est accompli par Angélica (Gail Lawrence) qui par ailleurs est amoureuse de lui.

Lafayette s’occupe également d’un groupe de vieux : Madame Toland (Géraldine Fitzgerald), une veuve, Mirko (Avon Long), un noir, un anarchiste italien, Luigi Nocello (Marcello Mastroianni). Il les protège contre la faune urbaine en les accompagnant longuement. Lui et ses compagnons vont souvent à la plage sur la rive du fleuve Hudson où ils découvrent le cadavre d’un singe immense en carton-pâte, la carcasse de King Kong, tenant dans ses bras un bébé singe que d’un commun accord ils baptisent Cornélius (Bella). Celui-ci, après avoir reçu une identité civique grâce à Luigi, est dévoré par les rats qui hantent l’appartement de Lafayette lequel en est bouleversé. Angélica, parce qu’elle est enceinte et qu’elle se rend compte de l’incapacité de Lafayette à assumer ses responsabilités, est partie. Luigi s’est pendu dans son petit potager. Lafayette meurt brûlé dans le Musée et sa fille naît.



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Alain Deschodt

  • Velextrut sarcoma
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Son surnom de "La Grenouille" « Réponse #1699 le: avril 01, 2014, 18:59:20 pm »
Deux pièces de choix en effet !  :love: :love:
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Jessica Nichenin

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Re : Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1700 le: avril 09, 2014, 15:55:58 pm »
2 excellents films dont je navais jamais entendu parlé  smiley9


Le Grand Embouteillage (L'Ingorgo : Una storia impossibile) est un film franco-italo-germano-espagnol réalisé par Luigi Comencini et sorti en 1979. Il est inspiré de la nouvelle de Julio Cortázar L'Autoroute du Sud.

Sur une autoroute italienne, des centaines de voitures se retrouvent bloquées durant de longues heures dans un monstrueux embouteillage. Les comportements des conducteurs vont devenir, eux aussi, monstrueux




c alléchant

Plan9

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L’Éveil de la bête (José Mojica Marins) « Réponse #1701 le: avril 09, 2014, 18:32:24 pm »
une petite perle...  smiley20


L’Éveil de la bête (José Mojica Marins)

Des scientifiques discutent sur les effets de la drogue, et de ses dépravations morales et la violence que déclenchent les consommateurs de stupéfiants. Un médecin suggérera même une expérience un peu particulière : proposer à plusieurs cobayes d’absorber du LSD et de décrire leurs états face à une image de l’icône de Coffin Joe…




Alain Deschodt

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un bâtiment obsolète « Réponse #1702 le: avril 16, 2014, 09:17:36 am »
- John Ford : Je n'ai pas tué Lincoln (1936), excellent de bout en bout, sur un médecin qui aida l'assassin en cavale de Lincoln. Les interprétations sont souvent expressionnistes (John Carradine, Warner Baxter) et le déroulement de l'histoire prenant de bout en bout, un des meilleurs Ford que j'aie pu voir !



- Christophe Kiesloswki : Tu ne tueras point (1987), malgré une photographie et des cadrages originaux, c'est un film pataud et ennuyeux sur les parcours croisés d'un chauffeur de taxi, d'un détraqué impulsif et d'un avocat néophyte



- Julien Duvivier : Pépé le Moko (1936), un plaisir de revoir un des chefs d'oeuvre de ce réalisateur, une réussite totale contrairement à La Bandera qui se passe aussi en Afrique du Nord, avec Mireille Baslin, Charpin, Marcel Dalio, Gaston Modot et évidemment Gabin



- Adrien Caetano : L'ours rouge (2002), très bon polar social argentin, noir et violent, avec entre autres Soledad Villamil (Dans ses yeux) et René Lavand (le magicien mondialement connu)



- Edouard Molinaro : Quand passent les faisans (1965), comédie hilarante de filoutage, avec la crème de l'époque : Blier, Lefebvre, Meurisse, Serrault, Dalban, Castelli et Audiard aux dialogues !

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Carla Hoke

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Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1703 le: juillet 04, 2014, 17:23:10 pm »
black mirror



Charlie Brooker revient avec une nouvelle satire en trois parties intitulée Black Mirror dans laquelle il dénonce le caractère voyeur que le 7tpetit écran entretient en chacun 7yde nous. Le premier épisode diffusé sur Channel 4 propose7c une intrigue volontairement caricaturale et extravagante: le Premier ministre britannique Michael Callow doit avoir e,en direct à la télévision une relation sexuelle avec une truie pour sauver la princesse royale Susannah qui a été enlevée.

Plan9

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Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1704 le: juillet 04, 2014, 18:12:00 pm »
Delirio Caldo, (Au-delà du désir), 1972,
Le docteur Herbert Lyutak pourrait être le petit frère du bon docteur Jekill… Le jour il est un psychiatre renommé qui aide la police dans la traque des criminels, la nuit tombée, il devient un sérial killer hors pair… Il faut dire qu’il a des circonstances atténuantes : vu qu’il est impuissant, sa femme, qui est restée vierge, le trompe avec la bonne et sa meilleure amie. Alors, pour se venger, il tue de jeunes et jolies femmes qui sembent avoir une vie bien dévoyée. ....

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Plan9

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Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1705 le: août 19, 2014, 00:03:45 am »
Le prix du danger  smiley20






EXCELLENT  smiley20

Dans un futur proche, un jeu télévisé intitulé Le Prix du danger fait fureur. Les règles sont simples : un homme doit parvenir à rejoindre un endroit secret en échappant à cinq traqueurs chargé de le tuer. Si le candidat gagne, il se voit attribuer la somme de 1 million de dollars, dans le cas contraire...

Le tout est filmé et retransmis en direct sur la chaîne de télévision CTV. François Jacquemard décide de participer au jeu.

Devant la popularité de Jacquemard pendant l'émission, réalisée en public et retransmise en direct, la CTV décide de truquer le jeu en faveur du candidat afin de monopoliser l'indice d'écoute et finit par aider directement François Jacquemard. Mais, orgueilleux et furieux d'être pris pour un appât à audimat, il décide de retourner la situation contre l'émission et abat ses poursuivants un par un, ce qui est contraire au règlement du jeu.

Le rôle principal aurait dû être tenu par Patrick Dewaere avant qu'il ne se suicide, quelques mois avant le début du tournage  smiley7 :ouin: smiley7

Plan9

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Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1706 le: septembre 13, 2014, 00:19:35 am »
Un Japonais se réveille un beau jour dans une pièce immaculée de blanc, sans fenêtres, ni portes. Lorsqu'il appuie sur une protubérance en forme de pénis fixée au mur, une brosse à dents rose apparaît comme sortie de nulle part et enclenche une série d'événements vraiment étranges…


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https://www.youtube.com/watch?v=ttQK_JoVAns&feature=player_embedded



riz

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Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1707 le: octobre 10, 2014, 19:48:54 pm »
ça à l'air bon ça Plan9.

Pour ma part le dernier bon film que j'ai vu c'est le dernier Cronenberg. Un portrait bien malsain du microcosme hollywoodien. Assez loin de nos préoccupations quotidiennes mais bien prenant.


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Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1708 le: octobre 10, 2014, 20:25:42 pm »
oui, c ultrafree  smiley17 smiley8 smiley17
cool dernier cronenberg, ca me dit rien !

Plan9

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Re : Les frères lumière veulent de la maille « Réponse #1709 le: octobre 11, 2014, 05:51:50 am »
Les Gauloises blondes

    Titre original : Les Gauloises blondes
    Réalisateur : Jean Jabely
    Année : 1988
    Pays : France
    Genre : Nos ancêtres avaient la gaule (Catégorie : Sexy comédies)
    Durée : 1h25
    Acteurs principaux : Pierre Tornade, Gérard Hernandez, Roger Carel, Jackie Sardou





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