Hey ça a l'air cool ce myownspace. Myspace c'est moche , mal pensé , l'interface est pourrie , c'est blindé de pubs , et au final le seul retour qu'ont les gens sur leur boulot c'est "thanx for the add"
Après dans l'utilisation, c'est un peu comme quelqu'un qui utilise Windows sans avoir payé la licence, j'ai entendu dire qu'il y a de nombreuses personnes dans ce cas
CiterAprès dans l'utilisation, c'est un peu comme quelqu'un qui utilise Windows sans avoir payé la licence, j'ai entendu dire qu'il y a de nombreuses personnes dans ce cas Ah bon , tu crois ?? Bon sinon, myspace ou myownspace, à mes yeux c'est mouton blanc et blanc mouton... :dryshit:
Listen to them Alain, the children of the night, what sweet music they make...
Citation de: "Le Cardinal Richelieu"Mais enfin Lulu, mon tendre agnelet, tu vas nous nous retranscrire ici ce réquisitoire de Montréal dont tu me parlais par téléphone sous le sceau du secret et nous en dire plus sur cette affaire, ou comptes-tu nous faire mourir de curiosité ??? LA TÉNÉBREUSE AFFAIRE DE LA POUBELLE DE LA RUE DELAROCHEAlors je suis arrivé au tribunal vers 15h, la procureur ("l'avocat de la couronne", cette pute) me convoque dans son bureau pour me faire une offre :"M. Samary, vous avez mis des ordures sur la voie publique en dehors des dates requises. Vous êtes coupable, j'en ai la preuve, me dit-elle en brandissant une couverture de magazine de Vegetarian Times sur laquelle était collée une étiquette avec mon nom et mon adresse, je vous propose donc de plaider coupable et, en échange, je réduit votre amende de 300$ à 100$"Vraiment offusqué et commençant déjà à en avoir ras-le-cul de cette connasse je lui répond :"Madame, 100$ c'est le quart de mon budget nourriture pour le mois, je suis bel et bien innocent et je compte m'expliquer directement avec le juge, si vous le voulez bien"Une grimace enlaidie encore les traits grossiers de la bougresse."On se voit à l'audience alors" me dit-elle.Après presque une heure, la greffière appelle mon nom. Je me présente à la barre, jure les grands dieux que je ne dirai que la vérité et commence mon réquisitoire :En gros : "M. le juge ! Cette affaire date de 2 ans, déjà. J'habitais à l'époque rue Delaroche dans un immeuble où les ordures et le recyclage étaient gérés par le concierge. Je trie toujours mes déchets et les place dans le bon bac. Nous avons eu des problèmes de conciergerie autour du mois de septembre : le manque de formation semblait affecter la qualité du travail de l'employé sur plusieurs points, et notamment sur la gestion des déchets. Il a sorti le bac de recyclage le mauvais jour, voilà la vérité ! L'employée de la ville est passé ce jour-là, a constaté l'infraction et a pris pour preuve le premier document qu'elle trouva dans le bac. C'est tombé sur moi et me voilà aujourd'hui devant vous"Le juge fit un geste de la tête en direction de la procureur histoire de dire "mais alors qu'est-ce qu'il fout là, lui ?", lui demanda si elle avait quelque chose à ajouter (elle fit non en regardant ses chaussures), et annonça, dans un tonnerre de VIVAS et d'applaudissements : "vous êtes donc acquitté, Monsieur". Je hurlais, comme défiant les cieux, saisi un drapeau rouge et commençais à chanter le chant des ouvriers de la Commune, repris par la prostitué et le clodo qui attendaient leur tour.UNE GRANDE VICTOIRE DU PROLÉTARIAT.
Mais enfin Lulu, mon tendre agnelet, tu vas nous nous retranscrire ici ce réquisitoire de Montréal dont tu me parlais par téléphone sous le sceau du secret et nous en dire plus sur cette affaire, ou comptes-tu nous faire mourir de curiosité ???