Comme un anarchiste provocateur, j'ai sortis ma bite brillante, pour mieux sentir le doux vent des champs ocres.
Alors que je marchais ivre de formes alcoolisées, une fissures sombre a arrêtée mon chemin. Dans ma tête Picasso dénigrait le pauvre Basquiat, il se moquait de lui, le doigtait avec sa langue, moi je souriais doucement de mes prises de tête insignifiantes.
Et mon sexe éclairait la nuit, fier. Mon couteau, lui, bien rangé dans la poche arrière attendait son heure.
Trancher les mots et laisser couler les lames écorchées par centaines de millier, jusqu'à la fin.
Je pensais qu'une fleur sauverait peut-être cette inévitable issue, et que, comme un trophée d'or je la leverai au ciel, je cracherai sur mes détracteurs, les cracheurs de venin, les fous médisants, les inventeurs maléfiques du complot anti-moi.
J'ai rangé ma bite, le vent s'est arrêté.