Hello à tous !
"Quitter la ville (morte) première" est à présent en écoute intégrale sur
http://noconfettinoir.bandcamp.com/L'album Díagone est désormais disponible en mp3 et .wav sur
http://noconfettinoir.bandcamp.com/(et sur toutes les principales plate-formes de téléchargement à partir du 26 juin. Mais c'est mieux pour nous si vous commandez sur Bandcamp)
... et toujours disponible en vinyle et CD sur
http://confettinoir.bigcartel.com------------------------------------------------------------------------------
Les derniers feedbacks:
Le khyroscope (dans l'article "Que faire de la poésie...) :
Plus récemment, c'est le premier disque du groupe No: "Diagone" qui vient dans cette alternative référentielle où le rap se veut plus poétique, moins rythmique et où les rimes sont plus scandées comme des slogans que "flowées", si je peux me permettre l'expression. Seb Casino, le rappeur musicien derrière ce projet propose une musique sombre, près de l'industrielle mais avec une teinte parfois noise, parfois baroque (notez la présence de clavecin). Vraiment un disque intéressant qui se démarque du rap français conventionnel. Seul point faible, ce flow parfois scandé qui rappelle une technique un peu primitive, propre à un rap français plus old-school début 90.
Lylo (
http://www.lylo.fr/#) :
Musique baroque, électronique et rock nourrissent les ambiances lourdes et pénétrantes de ce rap expérimental. Il s'enrichit du slam de Sébastien, dont la plume poétique et aiguisée met en relief ces compos qui révèlent un groupe au-dessus du lot.
Midi Libre :
NO Vaisseau spécial piloté par Sébastien Casino (programmateur, par ailleurs, au Baloard) et habité par un équipage musical consciemment hétérogène, NO publie Diagone, un album d'une ambition formelle exceptionnelle. Si la scansion du chant sombre et enflammé de Sébastien apparente la musique de NO au rap, celle-ci s'en différencie ostensiblement en réussissant à amalgamer rock progressif, avant-gardisme électronique et musique contemporaine. Expérimental sans jamais être hermétique, conceptuel mais étrangement sensuel, l'album Diagone s'écoute d'un trait, comme on regarderait un film d'auteur de science-fiction à la fois beau, politique et flippant (si un tel film existait !). En un mot : passionnant.