quelques actualités :
j'occupe mes journées à écrire le premier jet de mon roman le plus massif et le plus ambitieux à ce jour, qui s'appelle RIEN, ce qui est logique. je vais très bientôt terminer la relecture d'HOLOCAUSTE et le mettre en ligne. il y a aussi deux recueils de poésie en cours d'apparition, CYCLE POESIE DEBILE ET REALISTE (dont la plupart des textes a déjà été diffusée un peu partout) et INTERRUPTION (complêtement inédit et qui risque de changer de titre dans les prochains jours). également, je publie chez média 1000 (la branche porno de l'inestimable musardine), sous la direction d'esparbec, trois bouquins de cul : LE VALET, LE MANGE-FEMME et CHAUDASSE !, mais les calendriers de parution sont à ce point incompréhensibles (par moi, en tout cas), que je suis incapable de vous communiquer la moindre date. je vous en dirai davantage le moment venu.
en attendant tout ça, vous pouvez toujours lire un texte court mais inédit (et qui rappellera quelques trucs aux plus acharnés de mes fans) dans le prochain chronic'art, parution début février. merci à peggy sastre, qui est à l'origine de cet événement.
et dans le genre amuses-gueules, je vous rappelle que j'ai aussi publié une nouvelle inédite, BATMAN, dans numéro 68 de la revue chimères et qu'un autre texte inédit, LA PREMIERE FOIS OU J'AI TUE MON PERE, est disponible en lecture gratuite sur le site nousvelles.com
enfin un dernier truc, mais pas le moindre : anne vanderlinden m'a invité à venir à la librarie publico faire une lecture pour le dévernissage de son expo. évidemment, j'ai accepté, d'abord je ne refuse jamais une invitation, ensuite ce que fait anne vanderlinden est magnifique, et c'est un honneur d'aller lire mes imbécillités devant ses oeuvres. la librairie publico, c'est au 145 rue amelot à paris (onzième), métro république ou oberkampf, et ça se passera vers dix-huit heures trente, enfin dans ces eaux-là, soyez là avant, les horaires sont souples et l'apéro pas cher ; l'entrée sera libre mais je ferai peut-être passer le chapeau, pour la bonne cause des prolétaires de la pornographie. ce soir-là je lirai un extrait de RIEN, situé à peu près vers le milieu du bouquin, j'ignore encore s'il y aura un accompagnement musical live ou simplement une bande-son que j'aurais composée, et le mot est faible mes amis, pour l'occasion. venez nombreux.
konsstruktVOUSaime.