Auteur Sujet: Régionalisme breton (et autres)  (Lu 6064 fois)

Alain Deschodt

  • Velextrut sarcoma
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Régionalisme breton (et autres) « le: novembre 02, 2008, 17:44:25 pm »
Citation de: "Syd"
"Le Monde Comme Si" de Françoise Morvan (2002 + Editions Babel / Actes Sud 2005) - sous titré "Nationalisme et dérive identitaire en Bretagne".

J'ai mis du temps à m'y mettre, mais je ne regrette pas. De la construction du mythe du "pobl breizh" en passant par les années terroristes (le mouvement Breiz Atao et son pendant clandestin Gwenn Ha Du), puis la collaboration avec l'occupant nazi, jusqu'à la construction de l'Europe des Régions et des Ethnies sous le signe de l'ultra-libéralisme et avec la bénédiction de l'Opus Dei : l'édifiante histoire des autonomistes bretons obsédés par la défense de la langue.

Lecture vivement recommandée, et pas aux seuls habitants de la péninsule occidentale de notre beau pays.



Suite au message de Syd sur l'excellent bouquin de Françoise Morvan, j'ai trouvé ces liens éloquents sur le site Communautarisme.net. Y est montré la sombre farce qu'est le régionalisme breton, à savoir un puant relent identitaire qui puise ses racines et dans le nazisme (le "mouvement breton" est ouvertement fasciste et antisémite dès les années 1920) et dans l'Eglise catholique la plus réactionnaire.



Son renouveau actuel se double d'un soutien ultra-libéral venu de Bruxelles à travers l'Institut de Locarn (fauteur du fameux "Produit en Bretagne") où on retrouve pêle-mêle Patrick Lelay, Berlusconi, Murdoch, Pinault et autres Bretons pur souche... :hummm:



(ci-contre un article d'un des journaux de Mordrel, au milieu sur la première des deux images, leader de Breizh Atao, parti fasciste breton, les Bretons n'ont rien à envier aux Allemands smiley9...)

On peut y apprendre l'origine d'extrême-droite du gwen-ha-du, le drapeau breton actuel que l'on voit dans toutes les foires expo, sur les routes du Tour ou pour tout et n'importe quoi ayant trait à la Bretagne. De même, l'étonnante histoire du "h" de Bzh, loin d'être innocent puisqu'il est l'invention de toute l'équipe bras levé de Roparz Hémon et de son disciple Pierre Denis (alias Per Denez). :gavee:



Lisez avant tout l'article de Françoise Morvan[/url], il est éloquent (sur l'invention de l'identité bretonne actuel et de tout le bordel folklorico-médiatique dont on nous abreuve à longueur de temps smiley12)

Quand on sait que la seule chose qui distingue culturellement les Bretons des autres Français est un penchant immodéré pour le beurre salé, on voit la profondeur de cette soi-disant Bretagne mythique et indépendante devant laquelle se pâment les militants nationalistes d'(extrême) droite comme d'(extrême )gauche... smiley6
En France, les chômeurs exploitent les patrons

!dje!

  • Nyarlathotep Fongus
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #1 le: novembre 02, 2008, 17:54:50 pm »
j'etais tombé en cherchant des infos sur la division charlemagne sur la Bagadoù Stourm, division ss bretonne
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riz

  • Velextrut sarcoma
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #2 le: novembre 02, 2008, 19:04:01 pm »
Ha ouais quand même ...  smiley8
ça m'a toujours fait pitié "les imbéciles heureux qui sont nés quelque part" avec leurs petits fagnons noir et blancs à la con mais je pensais pas qu'il y avait un tel "passif". Ca doit pas être plus reluisants du coté des nationalistes savoyards. Je sais pas si c'est des conneries mais à la FAC on m'avait dit qu'il y avait même eu un mouvement ardennais qui réclamait entre autre , une fac à charleville  :stupid:

Hé biloute ! Jean Pierre Pernault uber alles.

Super Riton

  • Nyarlathotep Fongus
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #3 le: novembre 02, 2008, 23:30:47 pm »
bah y'en a plein des gars cools comme ça


alors le mouvement indépendantiste jurassien c'est déjà pas mal, surtout dans le canton du jura en suisse (on en avait parlé avec unas ça a l'air gratiné)
mais j'ai aussi vu des "jura libre" dans le haut doubs et le département du jura. ceci dit j'ai comme un doute que les indépendantistes suisses, si jamais suite à une faille du continuum espace-temps ils obtenaient l'indépendance, voudraient fusionner avec les jurassiens français.

et en alsace y'en a des beaux aussi :



enfin ceci dit je connais pas l'importance de ces mouvements...


sinon dans le haut-doubs y'a la république du saugeais, un petit regroupement de patelins avec sa présidente et son hymne national, y'a quelques années on avait un projet de coup d'état là bas avec des amis idéalistes; pour établir un paradis fiscal avec de la drogue et des putes, mais on l'a pas fait. :hummm:
hexakosioihexekontahexaphile

über allez là!

bryanbeast

  • Yog-Sothoth Mucus
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #4 le: novembre 02, 2008, 23:57:24 pm »
ouais j'ai habité un an pas loin de  la république du saugeais. en fait mon proprio y résidait... c'était un foutu type beauf étrange qui m'as mis des races au vieux-pontarlier assez fréquemment....

!dje!

  • Nyarlathotep Fongus
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #5 le: novembre 03, 2008, 01:02:17 am »
tu veux dire que le régionalisme à l'instar du communisme est soluble dans l'alcool ??

dans le nord y'a tout le délire Vlaams Belang...je crois qu'il y en a partout...c'est bien de cultiver une identité, c'est vrai ça permet d'échanger avec les autres : si on était tous pareil on aurait pas trop de truc à se raconter ça serait chiant mais faut pas aller trop loin quoi.
ici à Lisbonne avec les français & autres francophones c'est ça qui est super : c'est la base en général de discussion : de où tu viens en France (ou suisse ou Belgique...) le seul truc relou c'est le film des chtis à deux balles là, pour nous en tous cas...

y'avait ce cher Ben Vautier, le communiste révolutionnaire qui vend son art en super marché qui m'avait surpris la dernière fois que je m'étais intéressé à son cas : lui aussi était parti dans un drôle de délire régionaliste

vérification faites il continue : http://ethnisme.ben-vautier.com/
In Girum Imus Nocte Et Consumimur Igni.

makam

  • CromCruach Spagetooz
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #6 le: novembre 03, 2008, 09:25:07 am »
le charmant matraquage médiatique sur la mondialisation donne du grain à moudre aux communautarismes.

ils tombent pas tous dans les extrêmes, genre les toulousains d'Arnaud Bernard, linha Imagino, et leur fumeuse révolution des quartiers du monde...

J'ai toujours la chanson des malpolis en tête quand je lis ça:
"Comment peut-on confondre à ce point
Le trou d'un cul et celui d'un nombril,
Pour chanter comme le font les copains :
Ma ville est la plus belle des villes !
"

le reste du texte
http://www.lesmalpolis.com/2-Par-2.php

ploumploum tralala ?
"Vous connaissez James Brown, moi c'est l'contraire, je suis blanc et je suis pas fier" Programme

Ludmila de Hazebrouck

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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #7 le: novembre 04, 2008, 14:34:57 pm »
tous les moyens sont bons pour se faire du blé et continuer à répandre ses idées nauséeuses, à gerber !  smiley12 :smiley25:

Justin de Riquet

  • Taboulé Minceur
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #8 le: novembre 14, 2008, 11:12:19 am »
Sont-ce là des paroles qui honorent la bouche d' une jeune pucelle en fleur et les oreilles des preux qui les entendent ?

Par pitié damoiselle,
contraignez votre esprit encore embué par la rosée fraiche de l' enfance à ne point prononcer ce vocabulaire de charretier qui heurte encore plus durement mon coeur que mon ouïe.

riz

  • Velextrut sarcoma
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #9 le: novembre 14, 2008, 11:23:39 am »
ça sent le Piotr Zakouski à plein nez ...

Ludmila de Hazebrouck

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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #10 le: novembre 14, 2008, 11:26:48 am »
Citation de: "Riz_Au_Lait"
ça sent le Piotr Zakouski à plein nez ...


je n'osais le dire, tu m'as devancé, après womboutou, richelieu, mme pute et nadya, encore un nouveau pseudo qui sent la franchouille et le saucisson à l'ail à 3 km !! Mais jusqu'où ira t il le bougre !!?!  smiley12  smiley19 :stupid:

Syd

  • Miguou des Ténèbres
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #11 le: novembre 14, 2008, 23:43:53 pm »
Pas plus tard qu'hier, je bouffais à la Taverne du Roi Morvan, haut lieu de la culture bretonne à Lorient. Une affiche y annonçait pour un peu plus tard dans le mois une soirée lecture en breton avec des oeuvres de Roparz Hemon (l'inventeur du Bzh) et de Herri Ar Borgn, alias Henri Le Borgne, militant de l'UDB longtemps connu pour ses amitiés du côté de la gauche radicale. Le mélange des genres typiquement breton, quoi.

Tiens, d'ailleurs, à Lorient, historiquement l'un des bastions de la gauche prolétarienne, on trouve aussi bien des avenues Lénine que des rues Youenn Drezen (http://fr.wikipedia.org/wiki/Yves_Le_Dr%C3%A9zen). Bien sûr, plus personne ne fait attention au nom que portent les rues dans ce bas monde....et encore moins en basse bretagne...

Ludmila de Hazebrouck

  • CromCruach Spagetooz
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Régionalisme breton (et autres) « Réponse #12 le: janvier 09, 2009, 15:16:21 pm »
je viens de trouver un article interressant et marrant d'alain rémond qui écrit à marianne et avant à télérama ; c pas sur le breton mais sur le gallo mais ca revient au meme : l'impossibillité de le formater par l'enseignement universitairre. smiley16

    Le Gallo, un patois français de Bretagne.

     
    Un article paru dans le magazine Marianne du 19 au 25 avril 2008 N°574.
    Un amusant article sous forme de clin d'oeil à l'actualité cinématographique et à l'idée reçue qu'en Bretagne, tout le monde parle breton......et bien non,on y parle aussi gallo, un patois français de Bretagne (on dit aussi langue brito romane). Disons le comme ça!.
    image jpg du pays Gallo
    Un site spécialisé indiqué par un ami internaute
    Site spécialisé : Le Gallo langue brito-romane.
    http://www.maezoe.com/maezoe-fr.h

    Bienvenue chez les Ch'gallos!
    Si j'ai bien compris, on va maintenant se mettre à parler ch'ti à l'Elysée et à Hollywood. Le carton de Dany Boon a en effet été présenté, le même jour, à petit lapin qui pisse derrière la tente en personne et en ouverture du festival City Of Lights, City Of Angels de Los Angeles. Rires, applaudissements et congratulations dans les deux cas. Ayant moi-même vu Bienvenue chez les Ch'tisvoilà une paye, ayant bien ri et applaudi, et m'étant chaleureusement congratulé de l'avoir vu, je me réjouis de cette nouvelle extension du domaine du ch'ti. Qu'on me permette simplement, avant qu'un livre d'histoire à destination des écoles n'enseigne que la langue officielle de la France est le ch'ti, qu'on me permette, donc, de rappeler qu'on ne parle pas ch'ti partout. Aussi incroyable que cela puisse paraître, il existe, en France, des régions où l'on parle une autre langue que le ch'ti. Ainsi, on parle basque chez les Basques, occitan chez les Occitans (et provençal chez les Provençaux) , alsacien chez les Alsaciens, breton chez les Bretons. Et gallo chez les Gallos. Le quoi? Les quoi? Non, le gallo n'est pas la langue de Max Gallo (qui est plutôt du genre niçois). Le gallo est bel et bien parlé par les Gallos. Qui sont, eux, des Français du genre breton. Des Bretons dans mon genre. Autant le dire tout de suite: je suis gallo, né gallo, chez des Gallos. Donc chez des Bretons. Vous n'y comprenez rien? Attendez, je vous explique.

    Tout d abord, un peu de géographie. Puisque toute la France est devenue ch'tie, rappelons que, par rapport au Nord qui est au nord, la Bretagne est au sud-ouest du Nord. C'est-à- dire à l'ouest de Paris. En gros, la Bretagne est dans l'Ouest. Pour la trouver, c'est facile: c'est là d'où arrivent toutes les perturbations, aux dires de la météo («une perturbation arrive par l ouest. ..»). Maintenant, un peu d histoire. Contrairement à ce que d'aucuns pourraient croire (des Ch'tis, par exemple), tout le monde ne parle pas breton en Bretagne. Il existe toute une région, dans l'est de l'Ouest, où on n'a jamais parlé breton. Mais gallo. Quoi qu'il puisse m'en coûter, mettons les points sur les si le breton est bel et bien une langue, le gallo, lui, n'est qu'un dialecte. Comme le ch'ti. Et, comme le ch'ti, le gallo est un dérivé du vieux français. Donc du latin. Je n'ai su que très tard que je parlais gallo. Chez moi, dans mon village, on appelait cale patois. On disait qu'on parlait patois. Le jour où j'ai découvert que je parlais gallo sans le savoir, ça m'a fait tout drôle. Encore plus quand j'ai appris qu'on enseignaitle gallo à l'université. Cela dit, que le gallo ne soit qu'un patois ne veut pas dire qu'il est à la portée de n'importe quel Ch'ti. Ou de n'importe quel non-Gallo. Je vais vous en écrire quelques mots, vous allez voir. Ou plutôt je vais essayer: je suis nettement plus doué à l'oral qu'à l'écrit.

    (en vert là où on parlait breton jusque dans les années 50 / 60 dans les campagnes, en violet et jaune, là où on parlait gallo dans les campagnes)


    De toute façon, la retranscription du gallo est un vrai casse-tête. C'est un problème d'accent. Sans l'accent, on ne comprend rien à ce qui est écrit. A l'inverse, on voit bien quand quelqu'un l'a appris par écrit, sans maîtriser l'oral. Pareil pour le ch'ti. Voyez Line Renaud: elle est peut- être du Nord, mais elle parle faux. Elle récite du ch'ti appris. Scolaire. Elle n'a pas l'accent. Quand je lis du gallo écrit, j'ai le même problème: il faut que je le lise à voix haute, avec l'accent, pour le comprendre. Sinon, c'est du chinois (du Max Gallo, ça dépend) . Par exemple, j'ai lu le Secret de la Licorne, l'album d'Hergé, traduit en gallo. Ca ne marche que si je me le mets en bouche. Si je me contente de le lire, je trébuche presque à chaque mot. C'est ce qui me fait rire, chez ceux qui ont appris le gallo à l'université. Et qui, l'ayant appris, s'autoproclament conteurs en gallo. J'écoute leurs disques (car ils font des disques): je n'y comprends rien. Ils n'ont pas l'accent. Ils n'ont pas la musique. C'est du gallo d'université. Bon, assez glosé, je me lance.
    Tant pis pour l'exactitude de la retranscription: je vous le fais à l'oral. O l'rangeotte, par exemple, veut dire «avec le seau» (où on range l'eau). En gallo, «avec» se dit o s'il s'agit d'un objet, d'une chose. Mais quant o s'il s'agit d'une personne. «Viens quant o ma»: «viens avec moi» (du latin cum). Comme quoi le gallo est plus sophistiqué que le français. «Oui» se dit yan. Mais, à quelques kilomètres près, ça peut aussi se dire vé. «Non» se dit nenna (du vieux français nenni). «Si» se dit sia. «Peut-être» se dit vantié. «Vantié ben»: «peut-être bien». «Aujourd'hui» se dit aneut. Au café, on demande un mie (un café). «Fermer une porte» se dit crouiller. >Ou quiancher. La tirer se dit haler. Ou saquer. » Faire la sieste», c'est faire mérienne (même racine latine que méridien). «Je me suis fait drôlement mal» se dit je fais maudiment mal. Par le fait (autre tournure gallo), on adore utiliser le passé simple. On ne dit pas: «je suis allé à Paris», mais je fus à Paris.
    Je ne vais pas vous surprendre en vous avouant que je parle rarement gallo à Paris. Pour ne pas dire jamais. A Paris, je parle français (ou ch'ti quand je sors du cinéma). Mais il suffit que je retourne dans mon coin, en Bretagne, pour que les mots me reviennent. Et, surtout, l'accent. C'est une musique que j'ai dans la tête. Qui ressort toute seule quand je l'entends autour de moi. Je suis né bilingue: gallo-français. Quoique breton, je ne comprends pas un mot de breton. A part kenavo, comme tout le monde. Je comprends mille fois mieux le ch'ti que le breton. Quand je vous aurai dit qu'en pays gallo (à Dol, par exemple) on mange de la galette-saucisse (et non une complète bretonne de chez breton), je vous aurai tout dit. Manger une galette-saucisse sur le marché de Dol, c'est déjà parler gallo. Surtout avec un coup de cidre.

    Maintenant, je sais ce qui m'attend: des dizaines de lettres de lecteurs gallos de chez gallo, furibards et scandalisés, qui vont me dire que j'écris le gallo n'importe comment, que je n'y connais rien, que je raconte n'importe quoi. C'est la vie. Bien sûr, ils auront raison.
    Yan, din
    image jpg de droite "Carentoir" en pays gallo
    restaurant "le Pré Gallo"

    Samedi 19 Avril 2008 - 00:00
    Alain REMOND
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